Le gâteau au chocolat qui tue.

Cet aprèm, j’ai fait un peu de ménage (ceux qui me connaissent savent que c’est (trop) rare) et donc pour me récompenser j’ai fait du gâteau au chocolat.

J’ai une recette de gâteau au chocolat qui déchire proprement des mamans ours, elle est . Bon, pour faire du gâteau au chocolat, il faut… du chocolat.

D’habitude, je prends plutôt du Nestlé noir pâtissier, ça fait un gâteau (encore) plus chocolaté et moins sucré. Le chocolat est séparé en barres de 20g

M’enfin c’est pas très utile ici parce que de toutes façons on passe toute la plaque. On commence par faire fondre avec un poil d’eau :

Et pendant ce temps on s’occupe de séparer les blancs des jaunes de (normalement) quatre œufs.

Manque de pot, yen avait un pété dans la boite (où il en restait pile 4), résultat quand j’ai essayé de l’extraire il m’a explosé dans la main ! Saloperie.

Tant pis, ça sera un gâteau avec trois œufs. On va quand même pas se laisser pourrir la vie par un œuf non ! Bon, sur ces entrefaits, le temps de nettoyer l’œuf explosif, le chocolat a fini de fondre. Il est temps d’ajouter le beurre SALÉ. J’insiste sur le SALÉ.

La preuve. Précision au passage, ce beurre est wachement bon. Pas facile à trouver, mais wachement bon. Et donc, on en incorpore 125g (oui, ça fait une demi-plaquette. Faut ce qu’il faut pour que ça soit bon, hein !)

On ajoute la farine (125g aussi) :

Ça s’incorpore sans problème.

On n’oublie pas la levure (vivent les chtits paquets roses) :

Il faut maintenant s’occuper des œufs. Les jaunes, on y mélange le sucre et, comme on en a explosé un, un peu de lait pour remplacer la masse liquide.

Et on mélange le tout :

Vient l’ultime étape avant le passage au moule : celle des blancs en neige. Monter les blancs en neige, ça, ça va, je maîtrise, vive les batteurs Seb.

(Sont zoulis non ?) Par contre, après, le drââââme, c’est que je suis incapable d’« incorporer délicatement les blancs en neige ». Je sais pas, mais « incorporer » et « ne pas casser », j’ai beau réfléchir, ça me semble assez incompatible. Enfin bref, on fait du mieux qu’on peut :

Bon, on va dire que ça va aller :

Normalement, c’est là qu’on se rend compte qu’on a oublié un truc, genre la levure. Mais cette fois j’y ai pensé, pas besoin d’exploser mes blancs « délicatement » incorporés. Maintenant, il faut beurrer

ET fariner le moule :

Un moule bien beurré et fariné est la garantie d’un démoulage réussi.

La pâte dans le moule, et ZOU au four !

(on notera au fond la casserole prête à être violemment reléchée). 25 minutes plus tard, TADAM ! il est cuit :

Démoulage impeccable :

Odeur à tomber, dommage que ça passe pas sur les photos 🙂 Par contre, évidemment, je me suis oursée au retournage. Enfin comme ça on voit la texture dedans :

Croumch.

13 réflexions sur “Le gâteau au chocolat qui tue.

  1. DALOU dit :

    J’ai fait ce gateau au chocolat qui tue et ya rien à dire il tue vraiment!! Le résultat est comme sur la photo! Magnifique et TROP bon. Me fait penser au Savane tout chocolat… MIAM MIAM Tous le monde a craqué. Je le refais demain avec mes élèves… Merci 😉

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